Les setters des Blues Brothers

Québec

Comme tous les ans, début de saison au Québec. Cette année nous avons capitalisé sur les endroits que j’étais allé prospecter l’année dernière. Côté chiens, Blüe a "explosé" cette année, elle nous a fait des sorties extraordinaires. Tangor et Dana confirment "qu’elles aiment le Québec". Cette saison a été marquée par de nouvelles rencontres et de nombreuses sorties avec d’autres chasseurs, ce que nous avions mis de côté depuis quelques années... Thierry a ainsi pu prolonger sa saison avec de nouveaux partenaires que j’espère voir l’année prochaine.
J’ai eu le plaisir de chasser avec la jolie petite braque allemande de René, j’espère aussi que nous allons remettre ça l’année prochaine.
Il y a eu aussi la belle semaine au New-Hampshire (voir la galerie photo ici...).

Bretagne

Puis saison bretonne. Encore en cours, c’est une belle saison comme souvent ici.
Très chaude, il n’y a toujours pas eu de vraie gelée, mais nous avons eu de belles grosses tempêtes.

Bécasse de Noël, ça change !

Tous les ans j’attends avec impatience la bécasse de Noël. Celle que l’on trouve dans le petit matin, la tête encore embrumée du réveillon de la veille. Et où l’on est tout seul avec son chien, marchant le long des ruisseaux... Cette bécasse je m’en souviens toute l’année et je l’attends avec hâte.
Et cette année pour la première fois, il n’y a pas eu de bécasse de Noël... Pour deux raisons.
La première, pas très glorieuse, est un gros mal de tête...
La seconde est qu’il y avait une équipe de chasseurs devant moi. Comme j’avais entendu les courants des voisins d’un autre côté, je me suis vite douté de qui il s’agissait. Alors j’ai forcé le pas pour les rattraper. Et effectivement, Gérard, Denise et Christophe chassaient en famille.
Ce qui m’a permis de faire une fin de sortie de chasse avec Diwal, ce que je voulais faire depuis longtemps. Et donc j’ai fini en papotant et en regardant Tangor, Dana et Diwal.

Ca valait bien une bécasse de Noël !

Premier de l’an, ça commence de travers !

Vous avez déjà entendu parler d’un chasseur qui a perdu son fusil à la chasse ? Non bien sûr. Et là vous vous demandez comment c’est possible ?
Et bien c’est possible, je l’ai fait !

Fin de la sortie, pas loin de la maison. Il a plu sans cesse depuis deux jours. Les ruisseaux sont gorgés d’eau, comme des torrents boueux. Je cherche un "pont" pour traverser et rentrer. Je retire mes cartouches, je passe sur une branche en travers du ruisseau, en. Branche qui casse.
En me rattrapant à l’arbre sur la berge j’évite un bain non souhaité (bien que j’étais déjà trempé par la pluie). Et mon fusil me glisse de la main et disparait aussitôt dans l’eau opaque...
J’ai bien cherché en sondant avec le bras, mais je n’ai rien trouvé... Et voilà comment on rentre à la maison l’air vraiment pas fier et sans fusil.

Je l’ai heureusement retrouvé le lendemain, à l’aide d’un râteau pour fouiller le ruisseau.

Bretagne, 2

J’ai pas mal sorti Bali cette année. Je prends vraiment du plaisir avec lui. Ca a de la gueule un gordon dans les landes de bruyère et les ajoncs !

Bretagne, 3

On sait maintenant où l’on va faire le chenil !