Les setters des Blues Brothers

Rockland

Ce petit village je l’ai découvert l’année dernière et les perdrix comme les tétras à queue fines y étaient en nombre. Alors j’y retourne pour que les jeunes puissent voir des oiseaux dans de grands espaces.


En descendant de la voiture après une journée de route, les chiens se jettent dans le ruisseau à côté de la roulotte.


Et c’est parti pour Nolwenn !


Celui-là, il ne fait pas partie du groupe. J’enverrai une balle dans sa direction qui le fera ficher le camp. Car entre un petit setter et un coyotte, le vainqueur est toujours le même. Alors je préfère que le coyotte quitte les lieux. Surtout qu’il y avait là une jolie compagnie de perdrix.




Dana.


Nolwenn cherche le frais à l’ombre.
Cette année est plus chaude que l’année dernière. Le premier tour de la matinée se passe bien, mais le deuxième tour de la journée est difficile pour les chiens qui souffrent de la chaleur.


Dana.


Nikita.




Perdrix !
Avec une petite Nikita aux fesses !


Black.
J’ai fait la plupart de la journée avec l’appareil photo mal réglé. Donc très peu de photos...


Négus.








Black fait chauffer la gomme !

Cette année est encore plus sèche que l’année dernière. La terre n’est que poussière, elle rentre partout, il faut nettoyer l’objectif de l’appareil photo en permanence.
J’ai vu plus de perdrix grises que l’année dernière, mais presque qu’aucun tétras à queue fine. Le contraire du Montana.




Nikita après un bain de poussière...





C’est peut-être dû à la chaleur, mais les perdrix se trouvaient plus dans le maquis que dans les chaumes et les herbes longues.




Black.

Brownlee

Je retrouve les terrains et les paysages du réservoir Brownlee avec plaisir.

Perdrix rouges !

Il y a toujours un rapace à roder où il y a un chasseur ou un chien... Et quand on lève une perdrix, il file vers l’endroit où celle-ci va se poser...


Rapace à réaction !


Perdrix grise.




Négus dans la pente.


Ces vallons arborés sont habituellement propices aux tétras bleus. Nous n’en verrons que deux, bien moins que l’année dernière.


Black.






Dana.


Négus prend du plaisir en montagne ! Le fils de son père !


Négus.


Négus.


Nolwenn.


Perdrix grise.


Dana a toujours aimé la perdrix grise. Et maintenant elle parcourt les pentes à son rythme, mais toujours avec la même envie et avec le métier en plus. Et elle en montre aux petits !

Après trois jours ici, les chiens sont crevés et les pattes s’abiment de nouveau.
C’est le bout du périple, le trajet va maintenant continuer vers l’est, sur le retour. Demain c’est journée de repos pour les chiens, courses, lessive, etc. et nous repartons vers l’est. Samedi nous avons une chasse de prévue avec un copain à la recherche de la perdrix rouge.

Sortie chasse avec Ben et Scrappy

Comme prévu, je pose la roulotte pas très loin du lieu de rendez-vous.

Couché de soleil vu de la roulotte.

Lever de soleil pris sur la route en allant sur le lieu de chasse.



On va faire un grand tour le long d’un canyon avec de hautes falaises. Nous sommes dans un désert comme je n’en ai pas encore vu dans la région.

Scrappy est une jolie drathaar de quatre ans.




Scrappy et Ben.




Travail d’équipe !


Dana a coulé derrière une compagnie de perdrix rouges (choukars) sur plus de cent mètres sans la bloquer, mais heureusement sans la mettre à l’envol.


Les oiseaux sont un descendus le long des rochers et c’est Nolwenn qui va arrêter la compagnie.


Et Scrappy nous fera un rapport parfait !


Bien évidement après un tir de Ben.

La perdrix choukar dans l’Idaho

La perdrix choukar est la perdrix rouge de l’Asie. Elle vit dans des zones montagneuses et très arides, ce qui correspond tout à fait aux paysages de l’Idaho.
Elle a été introduite en 1930, et c’est incroyable de voir comment elle a colonisé ces immensités désertiques en moins d’un siècle, comme lors de la chasse avec Scrappy et Ben ou bien dans la région du lac Brownlee.